La fleur diaphane
S'ouvre timidement;
Avant qu'elle ne se fâne
Sous le soleil trop ardent.
Ephémère, est-elle
Comme la jeunesse
Et la vie, qui dans nos veines
Restent éternelles princesses.
Le vent d'été
Emporte les pétales
Que le soleil a desséchés,
Comme nos jours qui se fânent...