Posé sur le rebord d'une fenêtre,
Il prend le soleil
Et chante son bien-être
Qui l'émerveille.
Un bruit léger derrière lui
Ne l'alarme pas;
Il écoute les bruits
En faisant les cent pas.
Rassuré, il chante
De nouveau
Quand d'une secousse bruyante
S'ouvre le volet dans un sursaut.
Apeuré, l'oiseau s'envole
Et va se poser sur l'arbre face
A son ancien perchoir. Il s'isole
Pour chanter sa détresse.